Samedi 26 novembre sera l’occasion d’un ArkéAuLogis consacré entièrement à la découverte de nouvelles recrues qui deviendront peut-être vos animateurs de demain. Séance spéciale audition avec 4 candidats : Sauront-il se faire entendre ? Sauront-ils vous passionner ? Sauront-ils être simples ? Autant de questions que nous nous posons à leur sujet et que nous découvrirons ensemble :
VOS NOUVEAUX ANIMATEURS EN ACTION SUITE ET FIN
sous la conduite de Jean-Olivier Gransard-Desmond
SAMEDI 26 NOVEMBRE 2011 DE 14H00 À 20H00
Dès 14h00, nous commencerons les réjouissances de cet ArkéAuLogis un peu spécial avec notre premier candidat Emmanuel Baudouin qui présentera :
L’émergence de la hiérarchie sociale et la place du chef
au Néolithique en Mésopotamie
(© Forest et Jasim) |
Résumé :
Quelles sont les premières traces de différenciation sociale dans les sociétés du Proche-Orient ? Comment peut-on définir ces différences sociales par l’archéologie ?
L’étude des vestiges archéologiques a montré que certains bâtiments au sein du village se démarquaient des autres par leur richesse architecturale et matérielle (Eridu, Tell Oueili), et cela dès la fin du Néolithique en Mésopotamie. D’autres pouvaient accueillir une quantité importante de sépultures d’enfants (Tell Abadah), alors que la plupart en étaient dépourvus. Certains mêmes furent le lieu de banquets imposants (Degirmentepe) alors que d’autres font l’objet d’infrastructures gigantesques dès le début du VIe millénaire (canaux d’irrigation à Choga Mami).
Autant d’exemples qui permettent de supposer des inégalités au sein de la structure villageoise. Le tout est de savoir si ces différences témoignent ou non d’un véritable changement social au sein des communautés villageoises, à l’aube de l’urbanisation. Nous tenterons de percer le mystère de l’organisation sociale des sociétés anciennes de Syro-Mésopotamie à partir d’exemples archéologiques et d’exemples contemporains.
Emmanuel Baudouin est doctorant en Archéologie du Proche-Orient ancien à l’Université Paris IV-Sorbonne. Il s’est spécialisé dans l’organisation sociale des communautés villageoises mésopotamiennes et des relations avec la région du Caucase entre le VIème et le IVème millénaire.
Pour en savoir plus, Emmanuel Baudouin propose,
aux enfants
— HUNTER E. 1994, La Mésopotamie de Sumer à Babylone : Atlas historique, Casterman, Paris.
— OAKES L. 2001, Vivre comme… Les mésopotamiens, De La Martinière Jeunesse, Paris.
aux adolescents
— ANDRE-SALVINI B. et al., 1991, L’Aube des civilisations, Gallimard-Larousse, Paris.
— DAVOT F. et SAINT-BLANQUAT H. de, 1985, Les premiers villages, Casterman, Paris.
— MARGUERON J.-C. (rééd.), 2003, Les Mésopotamiens, Picard, Paris.
à tout public
— FOREST J.-D., 1996, Mésopotamie: L’apparition de l’Etat – VIIe – IIIe Millénaires, Méditerranée, Paris.
— HUOT J.-L., 1994, Les premiers villageois de Mésopotamie : Du village à la ville, Armand Colin, Paris.
— LEROY-GOURHAN A., 1983, Le fil du temps : Ethnologie et Préhistoire, Fayard, Paris.
— MARGUERON J.C. (rééd.), 2003, Les Mésopotamiens, Picard, Paris.
— Malaterre J. (réal.), Le sacre de l’Homme, direction scientifique : Yves Coppens et Jean Guilaine.
aux plus spécialistes
— CARTER R.A. et PHILIP G. (eds), 2010, Beyond the Ubaid : Transformation and integration in the Late Prehistoric Societies of the Middle East, papers from “The Ubaid expansion ? Cultural meaning, identity and the lead-up to urbanism” international workshop held at Grey College, University of Durham, 20-22 April 2006, Oriental Institute of the University of Chicago, Chicago.
— GIBSON D.B., 2008, “Chiefdoms and the emergence of private property in land”, Journal of Anthropological Archaeology 27/1, p. 46-62.
— HELWING B., 2003, “Feasts as a social dynamic in Prehistoric Western Asia – three case studies from Syria and Anatolia”, Paléorient 29/2, p. 63-85.
— JASIM S.A., 1985, The Ubaid period in Iraq : the recent excavations in the Hamrin region, British Archaeological Reports International Series 267, Oxford.
— OATES D. et OATES J., 1976, The Rise of Civilization, Phaidon, Oxford.
Un lien, un labo
— Découvrez le projet ArScAn « Du village à l’Etat au Proche et Moyen-Orient » (Nanterre, Maison René Ginouvès), dirigé par Régis Vallet (CNRS) qui s’attache à comprendre les complexités sociales au sein des communautés anciennes.
Nous poursuivrons à 15h30 avec notre seconde candidate Laetitia Munduteguy qui présentera :
Sur les traces des chasseurs de baleine au Canada au XVIe s.
étude des méthodes de chasse et des techniques de transformation du lard de baleine
sur le site de Red Bay (Labrador)
Navire baleine en panne pour secourir ses embarcations chavirées par une baleine, Louis Lebreton (1818-1866), peintre lithographe de marine (© DR) |
Résumé :
Qui étaient donc ces chasseurs intrépides venus de l’autre côté de l’océan chercher l’huile des baleines dans ces contrées désolées, alors nommées « terres de Caïn » par Jacques Cartier ? Si vous voulez en savoir davantage, venez embarquer à bord du galion San Juan qui nous mènera en ces lieux le temps d’une après-midi, pendant laquelle vous pourrez découvrir la vie quotidienne de ces chasseurs de baleines.
Le Golfe de Gascogne a toujours été un lieu fréquenté par les baleines et cachalots. Leurs migrations saisonnières n’échappèrent pas à l’œil des Basques. L’observation des cétacés se faisait depuis des tours de guet surplombant l’océan. Ainsi, ils pouvaient guetter le souffle de la baleine s’élever au-dessus des flots. A partir du XIIIème siècle, on observe une raréfaction subite des cétacés, obligeant les chasseurs à réfléchir à une nouvelle stratégie de pêche.
Le XVème rime avec découverte du monde, notamment avec celle de l’Amérique par Christophe Colomb. En 1497, Giovanni Caboto note la présence de bancs morutiers au large de Terre-Neuve. Les Basques ne tardent pas à se lancer dans cette nouvelle aventure, mais la présence de baleines en ces lieux les amènent à choisir cette nouvelle proie, plus rentable. La pratique de cette chasse atteint son apogée entre 1540 et 1590.
En 1979, une équipe d’archéologues de Parcs Canada met au jour à Red Bay au Labrador (Terre-Neuve) un campement saisonnier de chasseurs basques du XVIème siècle. L’état de conservation remarquable des vestiges terrestres et subaquatiques a permis de reconstituer la vie quotidienne de ces pêcheurs.
Diplômée de l’Université Paris I Sorbonne depuis 2007 en archéologie, Laetitia Munduteguy s’est penchée lors de ses deux Masters sur l’étude des basques chasseurs de baleines et sur les moulins à mer. Elle intervient aujourd’hui comme archéologue sur des missions CNRS à l’étranger.
Pour en savoir plus, Laetitia Munduteguy propose,
aux enfants
— U. Fuhr et R. Sautai, la baleine, Gallimard Jeunesse, mai 2008.
— P. Steele, La baleine bleue, Dominique et Cie, mars 2000.
— V. Rennert, la petite baleine, éditions Mango, mai 2008.
— La galerie des enfants du Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris (du primaire à la 6ème).
aux adolescents
— Cohat Y. et Collet A., Vie et mort des baleines, édition Gallimard, Paris, 2000.
— Wandrey R., Guide des mammifères marins du monde, édition Delachaux et Niestlé, Paris, 1999.
— Blond G., La grande aventure des baleines, Presses de la Cité, Paris, 1984.
— Baleines en direct, site Québécois dédié aux baleines du St-Laurent (photos, vidéos etc).
— LesBaleines.net pour tout savoir sur le cycle de migration des baleines, leur lieu d’habitat, anatomie etc.
— DVD C’est pas sorcier, documentaire sur la baleine, février 2008.
aux adultes
— Bobbé S., Baleines, un enjeu écologique, édition Autrement, Paris, 1999.
— Bélanger R., Les basques dans l’estuaire du Saint-Laurent 1535-1635, Presses de l’Université du Québec, Montréal, 1971.
— Banfield A.W.F., Les mammifères du Canada, Presses de l’Université de Laval et University of Toronto Press, 1977.
— De la Morandière Ch., La pêche française de la morue à Terre-Neuve du XVIe siècle à nos jours : son importance économique, sociale et politique, Contributions du Centre d’Etudes arctiques et Finno-Scandinaves 4, Paris, 1967.
— Duguy R. et Robineau D., Guide des mammifères d’Europe, édition Delachaux et Niestlé, Paris, 1982.
— Grenier R., “Excavating a 400 Year-old Basque Galleon”, National Geographic, 1985, p. 58-68.
— Cetace.info, un site sur les Cétacés dans le Golfe de Gascogne.
— L’archéologie subaquatique ouvre un volet sur notre patrimoine maritime: le San Juan, 1565, et les chasseurs de baleines basques du 16è siècle dans l’estuaire du Saint-Laurent, La plongée X/3-4, Mars-Avril 1983.
— Les Basques et la pêche à la baleine au XVIe siècle sur le site de Parcs Canada, informations sur le site de Red Bay.
— Exposition virtuelle : Baleiniers basques du Musée Canadien des Civilisations, reconstitution des fours de fonte de l’huile.
— Kovacs E. (réal.), Le royaume de la baleine bleue, 2009.
aux plus spécialistes
— Grenier R., Stevens W. et Bernier M.-A., L’archéologie subaquatique de Red Bay : la construction navale et la pêche de la baleine basque au XVIe siècle, éditions Parcs Canada, Ottawa, 2007.
— Duhamel du Monceau H.-L., Le traité général des pêches et histoire des poissons qu’elles fournissent, tant pour la subsistance des hommes que pour plusieurs autres usages qui ont rapport aux arts et au commerce, Tome III, Paris, 1769.
— Cleirac (de) E., Les us et coustumes de la mer, Imprimeur ordinaire du Roy, Bordeaux, 1661.
— Barkham M., “La industria pesquera en el País Vasco peninsular al principio de la Edad Moderna: ¿una edad de oro?”, Itsas Memoria, revista de estudios marítimos del País Vasco 3, Untzi Museoa-Museo Naval, Donostia-San Sebastián, 2000, p. 29-77.
— Huxley-Barkham S., « Aperçu de l’évolution de la pêche sur les côtes de l’Est canadien », In : L’aventure maritime du Golfe de Gascogne à Terre-Neuve, Actes du 118ème congrès national annuel des sociétés historiques et scientifiques (Pau 1993), édition du CTHS, Paris, 1995, p. 173-180.
— Soraluce y Zubizarreta N. de., Introducción, capitulo 1 y otras descripciones de la Memoria acerca del origen y curso de las pescas y pesquerías de ballenas y de bacalaos, impr. De los hijos de Manteli, Vitoria, 1878.
— Histoire de l’exploration et colonisation de Terre-Neuve et du Labrador sur Patrimoine de Terre Neuve et du Labrador.
À 17h00, notre troisième candidate Alison Passieux présentera :
La restauration des tableaux :
évolution, pratiques passées interdites et actualité
Un Rembrandt passé aux rayons X (© DR) |
Résumé :
La restauration des œuvres peintes s’est enclenchée à partir du XVIIIe siècle. Elle a par la suite subi de nombreuses mutations au sein de son corps de métier, transmis initialement de génération en génération au sein d’un même atelier.
Destinée à sauver des œuvres abîmées ou mises en danger par le temps ou leurs conditions de conservation, la restauration du support et de la peinture s’élabore lentement après une période d’expérimentation. Les techniques de sauvegarde mises au point aboutissent notamment à la transposition des œuvres sur de nouveaux supports.
L’opération consiste à désolidariser la partie peinte de sa toile d’origine afin de l’appliquer sur une toile saine. Cette technique a été très largement pratiquée au cours du XIXe siècle. Les peintres se chargent également de restituer un aspect visuel que l’on aimerait esthétique et proche de l’original.
À l’aube du XXe siècle, on amorce une remise en questions de ces pratiques, jugées agressives ou peu fidèles par leurs détracteurs. Une réflexion internationale et plus aboutie s’engage, permettant à une nouvelle déontologie de voir le jour et d’essaimer dans les musées occidentaux.
Alison Passieux a fait l’École du Louvre et est spécialisée dans l’histoire de la peinture. Elle a mené un travail de recherche sur la restauration de supports au XIXe siècle.
Pour en savoir plus, Alison Passieux propose,
à tout public
— C’est pas sorcier. La restauration des oeuvres d’art, Vendredi 4 mars 2011, France 3. Partie 1 – Partie 2
— Naffah Ch. (dir.), La restauration des œuvres d’art : Eléments d’une histoire oubliée, XVIIIe-XIXe siècles, Technè 27-28, 2008.
— Volle N., Les Noces de Cana de Véronèse. Une œuvre et sa restauration, Paris, 1992-1993.
— Volle N., Au coeur de la Joconde, Léonard de Vinci décodé, Paris, 2006.
— Série Palettes, Arte.
aux plus spécialistes
— Brandi C., La restauration : méthodes et études de cas, Paris, 2007.
— Brandi C., Théorie de la restauration, Paris, 2001.
— Émile-Mâle G., Pour une histoire de la restauration de peintures en France, Paris, 2009.
— Langle S. B., Science et patience ou la Restauration des peintures, Paris, 1992.
Des liens et des labos
— Centre de recherche et de restauration des musées de France
— Istituto superiore per la conservazione ed il restauro
— Laboratoire de recherche des monuments historiques
Enfin, à 18h30, nous terminerons avec notre quatrième et dernière candidate Audrey Delvigne-Ryrko qui présentera :
Châteaubleau, un édifice de spectacle gallo-romain
du IIème siècle de notre Ère
Photo aérienne du théâtre de Châteaubleau en 2011 (© DR) |
Résumé :
La découverte du théâtre s’effectue en plusieurs étapes :
– la chronologie,
– la localisation de l’édifice de spectacle dans l’ancienne agglomération secondaire, Châteaubleau,
– les opérations de fouilles,
– le terrain et la post-fouille.
La construction du théâtre semble dater de la première moitié IIème siècle après J.-C, les sondages réalisés entre 1970 et 1995 ont permis la mise au jour de nombreuses pièces de monnaies (en effet, cette petite agglomération est le lieu d’un trafic de faux monnayages) dans les niveaux les plus bas de l’édifice. Une étape préliminaire (premier niveau de construction du théâtre) du théâtre, en bois (pour les gradins avec des poteaux en bois maintenus par des pierres de calages), ou en pierre, de dimension beaucoup plus réduite et conservant la même disposition, n’est pas à exclure. Le théâtre semble être abandonné dans le courant de la deuxième moitié du IVème siècle. En effet, une structure de four de forme circulaire semble avoir servi à la cuisson des pierres calcaires en récupération du vomitoire nord, afin de produire de la chaux, dans le courant des années 380. On retrouve aussi plusieurs pierres de remplois utilisées dans la construction de divers édifices découverts dans le village datant de l’antiquité tardive et du haut Moyen-Âge.
Le théâtre est situé dans la partie Est du village actuel, sur la route menant au Bois-du-Châtel. Il est probablement situé sur un axe Fanum-Théâtre-Thermes, ouest-est. La présence de thermes est encore à l’étape d’hypothèse mais est probable car la disposition d’un multiple Fanum en bord de voie et au cœur de l’agglomération, directement relié au théâtre par une voie (probablement dédiée aux processions) est évidente sur les plans de l’antique cité des faux monnayeurs.
Ce secteur comprenant le théâtre a fait l’objet de plusieurs opérations depuis le début des années 1970 (le secteur de l’aumône sera brièvement expliqué). Le vomitoire sud a été dégagé et a subi une restauration de l’appareil en Opus Mixtum (la restauration a consisté en un ajout de ciment sur les premières assises visibles, dans les années 1970). Plusieurs sondages ont été réalisés dans les années 1990 (petites tranchées), mais ce n’est véritablement qu’en 2010 qu’ont commencé les « vraies » fouilles du théâtre.
Audrey Delvigne-Ryrko est actuellement étudiante en M2 d’Archéologie, spécialité gallo-romaine, à l’Université Paris X Nanterre La Défense. Son sujet de mémoire porte sur Le sanctuaire germanique d’Arras, analyse critique d’une interprétation sous la direction de Paul Van Ossel (directeur de l’UMR 7041 : Équipe Archéologie de la Gaule. Structures économiques et sociales).
Pour en savoir plus, Audrey Delvigne-Ryrko propose
aux enfants
— BOMBARDE B. et MOATTI C., Comment vivaient les romains, Gallimard jeunesse, Paris, 2005
— BEAUMONT E., GRIMAULT H. et FERRIER C., Au temps des Gaulois, Fleuris, Paris, 2007
aux jeunes
— BRUNAUX J.-L., Les Gaulois, Belles-lettres, Paris, 2005
— COULON G., Des Gaulois aux gallo-romains, Paris, 2008.
— DEMOULE J.-P., GILIGNY F., LEHOËRFF A. et SCHNAPP A., Guide des méthodes de l’archéologie, Paris, 2009
— MONTEIL M. et TRANOY L., La France gallo-romaine, Paris, 2008.
à tout public
— DUMASY F., Le théâtre d’Argentomagus (Saint-Marcel, Indre), In : les documents d’archéologie Française 79, Paris, 2000.
— GRENIER et Al., Manuel d’archéologie Gallo-Romaine, tome 2, Théâtres, amphithéâtres, cirques, Paris, 1958.
— MORETTI J.-C., Théâtre et société dans la Grèce antique, Paris, 2011.
— SINTES C., « Les vicissitudes d’un théâtre antique », In : les théâtres de la Gaule romaine, Dossiers d’archéologie 134, Janvier 1989, Dijon, 1989.
aux plus spécialistes
— DUMASY F., « Argentomagus : d’un théâtre à l’autre », In : Le théâtre antique et ses spectacles, Spectacula II, Actes du colloque tenu au musée d’Archéologie Henri Prades de Lattes, 27-30 avril 1989, Lattes, 1992, p. 21-27.
— PILON F., Les sanctuaires et les habitats de Châteaubleau (Seine-et-Marne), Bilan des travaux antérieurs a 2005, In : Dioecesis Galliarum, Nanterre, 2008.
— PILON F. (dir), Les sanctuaires et les habitats de Châteaubleau (Seine-et-Marne), document de travail 8, Association Diocesis Galliarum, Nanterre 2008.
— PILON F. (dir.), Châteaubleau (77) / Le Haut Chemin, parcelles A 239 et ZA 103 – Théâtre gallo-romain (Programme 2010-2014), Rapport Intermédiaire 2010, volume 1 : synthèse des recherches et études spécialisées, Service Régional de l’Archéologie d’Île-de-France.
— PILON F. (dir.), Châteaubleau (77) / Le Haut Chemin, parcelles A 239 et ZA 103 – Théâtre gallo-romain (Programme 2010-2014), Rapport Intermédiaire 2010, volume 2 : Documents associés, Service Régional de l’Archéologie d’Île-de-France.
Des liens et des labos
— Vitruve, De l’Architecture, édition numérique des 10 livres avec leur version latine et leur traduction sur le site internet L’antiquité grecque et latine de Philippe Remacle.
— Châteaubleau Archéologie, l’association la Riobé. Site officiel des fouilles dirigées par Fabien Pilon, Docteur en archéologie (spécialité numismatique) à l’Université de Paris-X Nanterre, avec l’apport scientifique de Paul Van Ossel (UMR 7041 CNRS). Les fouilleurs sont des étudiants en archéologie des universités de Paris X, Paris I, Strasbourg, Lyon II-lumières.
Merci de confirmer votre présence au 06.22.03.32.33 ou par mail à contact@arkeotopoia.org. Le lieu de rendez-vous vous sera communiqué à cette occasion.