Le comité d’honneur
L’archéologie n’est en rien un rassemblement de vieilles pierres et de connaissances d’un autre âge. Au-delà de répondre aux questions que nous sommes en droit de nous poser quant à nos racines humaines et à nos ancêtres les plus proches, la recherche archéologique répond aujourd’hui à des enjeux beaucoup plus vastes.
Touchant la société d’aujourd’hui, l’archéologie ne peut plus travailler isolée des conséquences de ses travaux. Ses applications ont une justification et un impact aussi bien dans les aspects sociaux que dans ceux économiques, diplomatiques et technologiques à travers les enjeux politiques des technologies de demain et du développement durable.
Certains pays européens l’ont déjà compris et ArkéoTopia® tient à suivre leur exemple et à peser dans la balance de l’archéologie de demain en suivant autant les innovations théoriques qu’applicatives et en diffusant ces nouveautés au plus grand nombre. Les membres du Comité d’Honneur ont également compris le rôle que souhaitait jouer ArkéoTopia et soutiennent son action. Cette action n’est autre que l’action d’une société civile faite de professionnels, d’amateurs et de citoyens qui se préoccupent de la société de demain et souhaitent aider à la construire.
Nous les remercions de leur soutien.
Les membres du Comité d’Honneur sont des personnalités de la recherche, de l’enseignement, du journalisme, du monde politique, et ce sans frontières. Ils se sont associés à ArkéoTopia®, une autre voie pour l’archéologie par le rôle important qu’ils jouent dans leur domaine de compétence.
À ce titre, le Comité d’Honneur est garant de la crédibilité de notre organisation sur le plan scientifique mais aussi sur l’adéquation de ses actions avec les valeurs et les missions qu’elle s’est fixées.
Vous pouvez lire l’article du début à la fin ou accéder à la présentation biographique et à la lettre de soutien de chacun des membres du comité d’honneur en cliquant sur les noms de la liste ci-dessous :
Jeffrey T. Clark, Archéologue – Université, États-Unis
Raimund Karl, Archéologue – Université, Grande-Bretagne (Pays de Galles)
Jean Richard †, Historien – Académicien, France
Jean-Pierre Houdin, Archéologue bénévole – Indépendant, France
Albert Jacquard †, Généticien – Université, France
Jean-Paul Réti, Sculpteur – Indépendant, France
Jeffrey T. Clark
Professeur d’anthropologie – Université du Dakota du Nord, USA
Biographie
Le Dr. Jeffrey Clark, archéologue, fait partie de la faculté du NDSU depuis 1983. Ses centres d’intérêts incluent les études paléoenvironnementales, le patrimoine culturel humain et biologique, la théorie et les méthodes en archéologie, les applications de l’informatique en archéologie, les environnements virtuels pour l’enseignement et la recherche, l’Océanie, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Nord. Ses premières responsabilités en tant qu’enseignant portent sur l’introduction à l’anthropologie, à l’archéologie, à l’écologie culturelle, aux populations du Pacifique Sud et à l’origine de l’homme. Il supervise également l’expérience d’apprentissage individuel et le chantier école américain de Samoa. Le Dr Clark a reçu une subvention de la National Science Foundation pour équiper le Archaeology Technologies Lab de la technologie nécessaire à la réalisation de modélisations 3D.
Pourquoi soutenir ArkéoTopia ?
En tant qu’archéologue, j’ai été séduit par l’énergie, la rigueur et la qualité du travail d’ArkéoTopia en matière de vulgarisation scientifique. J’ai apprécié également que l’association ne s’intéresse pas seulement aux archéologues professionnels, mais qu’elle prenne en compte aussi le rôle des archéologues amateurs en les dissociant bien des pilleurs. Enfin, j’ai apprécié que ce programme universel ne soit pas seulement des mots, mais des actes ainsi qu’en témoigne l’universalité affichée par son Comité d’Honneur ne se limitant ni à l’archéologie française, ni à l’archéologie classique. J’ai été marqué à cette occasion par les raisons avancées par Jean-Olivier Gransard-Desmond, Président de l’association, quant au choix d’ArkéoTopia pour ma personne : « Vous êtes américains et vous travaillez sur l’archéologie océanienne. Nous souhaitons que notre Comité d’Honneur rende compte de la variété de ce que veut représenter ArkéoTopia. » Après nous être rencontrés à l’occasion d’un colloque sur l’informatique appliquée à l’archéologie que j’avais organisé à Fargo, nous nous sommes suivis et j’apprécie toujours autant la franchise et la volonté d’ouverture du Dr. Gransard-Desmond et considère le projet d’ArkéoTopia comme un bel outil pour l’amélioration des contacts entre public et chercheurs tout comme un appui potentiellement important dans les années à venir pour la communauté archéologique. C’est pourquoi, je soutiens l’effort d’ArkéoTopia, une autre voie pour l’archéologie et lui souhaite le succès qu’elle mérite.
Jeffrey T. Clark
Fargo, North Dakota – USA
Le 4 avril 2011
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Biographie
Le Dr. Raimund Karl a rejoint l’Université de Bangor comme Maître de conférence en 2003, après des travaux de recherche au sein du Centre d’études supérieures Galloises et Celtes. Il est à la tête de l’École d’histoire, d’histoire et d’archéologie galloise de l’Université de Bangor depuis 2007 et il est actuellement professeur d’archéologie et de patrimoine au sein de ce même département. Docteur en archéologie, il détient une habilitation de l’Université de Vienne, Autriche. Ses centres d’intérêts principaux portent sur le le paysage “celtique” des Ier millénaires av. et ap. J.-C. et sur l’archéologie de la société, mais également sur la théorie et les méthodes en archéologie, le rôle de l’archéologie et des archéologues dans la société contemporaine, la vulgarisation en archéologie et les politiques patrimoniales. Il a participé et participe à de nombreux projets dont plusieurs européens comme Découvrir les archéologues en Europe et Étudier l’archéologie en Europe.
Pourquoi soutenir ArkéoTopia ?
C’est au travers de ma recherche sur l’archéologie dans la société contemporaine, et plus particulièrement sur la partie sociale, économique et éducative de la situation des étudiants en archéologie que j’ai découvert le travail d’ArkéoTopia. J’ai trouvé particulièrement encourageant et impressionnant qu’une organisation comme ArkéoTopia regarde au-delà des limites relativement étroites de l’archéologie professionnelle française en encourageant et en offrant la possibilité, aussi bien à un large public qu’aux étudiants en archéologie, à s’engager de manière constructive et productive au sein du processus archéologique. J’ai également été très impressionné par l’énergie et l’enthousiasme avec lequel ArkéoTopia soutient et participe à des programmes importants comme Étudier l’archéologie en Europe qui vise à examiner et à mieux comprendre la situation de la prochaine génération d’archéologues professionnels tandis que ces derniers continuent à transiter par plus éducation ; et dont un autre objectif est de faciliter l’accès à l’emploi pour ces nouveaux diplômés au sein de leur domaine. De même, les activités pratiques d’ArkéoTopia dans le domaine de l’archéologie amateur et bénévole sont impressionnantes, et fournissent un outil d’entrée et une voix à un public avec lequel les archéologues devraient plus travailler non seulement à diverses activités archéologiques, mais également à la vulgarisation de la discipline. C’est donc sans réserve que j’apporte mon entier soutient aux efforts d’ArkéoTopia et que je lui souhaite le succès qu’elle mérite pleinement.
Raimund Karl
Bangor, Gwynedd (Pays de Galles)
Le 2 avril 2012
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Jean Richard † 25 Janvier 2021
Historien, Membre libre de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres – Paris, France
Biographie
Diplômé archiviste paléographe en 1943, Membre de l’École française de Rome en 1947, Docteur ès lettres en 1953, Jean Barthélémy Richard est un historien qui s’est illustré par ses travaux sur l’Histoire médiévale notamment celle de la Bourgogne et de l’Orient latin (croisades, États latins d’Orient, missions de l’Église catholique en Orient). Doyen de la faculté des lettres de l’Université de Dijon (1968-1971), Officier de la Légion d’Honneur, Commandeur de l’Ordre national du Mérite, Grand-Officier de l’Ordre des Palmes académiques, Chevalier de l’Ordre des Arts et Lettres, Jean Barthélémy Richard a été élu le 3 avril 1987 membre libre de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres au fauteuil de Marcel Simono. Il fut président de l’AIBL en 2002.
Pourquoi soutenir ArkéoTopia ?
Intéressé par le programme d’ArkéoTopia et ayant suivi les travaux de M. Poutiers (1), j’ai accepté de figurer dans le Comité d’Honneur de cette organisation aux grandes ambitions pour soutenir son action.
Jean Richard
Paris, France
2 mai 2011
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Jean-Pierre Houdin
Architecte DPLG et archéologue amateur – Paris, France
Biographie
Diplômé des Beaux-Arts section architecture en 1976, Jean-Pierre Houdin se lance comme architecte indépendant, profession qu’il exercera pendant vingt ans durant lesquels il participera à la construction de nombreux édifices d’habitation et de bureaux en Ile de France. Fin 1996, il part à New York où il apprend à se servir d’Internet, à dessiner grâce aux premiers outils de dessin numérique, et s’engage dans la construction de sites Internet. En 1999, son père, assistant à une émission de télévision consacrée à la construction des pyramides, a l’intuition que les pyramides ont pu être bâties de l’intérieur. Il fait appel à son fils Jean-Pierre, architecte rôdé à la 3D pour l’épauler dans ses recherches et l’aventure Khéops commence. En 2005, Jean-Pierre Houdin reçoit le soutien de Dassault Systèmes dans le cadre du programme de Mécénat « Passion for Innovation » qui lui permettra de présenter Khéops Révélé en 2007 en puis Khéops Renaissance en 2011. Après 12 ans de recherche, Jean-Pierre Houdin a révolutionné nos connaissances sur la construction de la pyramide de Khéops et celles de l’Ancien Empire, mais il a également apporté une méthodologie de travail féconde pour les nouvelles générations d’archéologues.
Pourquoi soutenir ArkéoTopia ?
En tant qu’architecte, j’ai rencontré et je rencontre encore beaucoup de réticences de la communauté scientifique par rapport à mon étude et mon travail sur la pyramide de Khéops. Si je n’ai pas eu de formation académique comme archéologue, mon approche du sujet n’en reste pas moins conforme à la démarche scientifique ainsi que des chercheurs comme D. Arnold, R. Stadelman et d’autres que j’ai rencontrés à ce jour me l’ont confirmé et ArkéoTopia avec eux.
C’est lors d’une soirée à la Géode que j’ai fait la connaissance du Dr. Gransard-Desmond et d’ArkéoTopia. À cette occasion, le Dr. Gransard-Desmond n’a pas hésité à prendre la parole en public pour confirmer l’attitude hélas désastreuse de la communauté scientifique à mon égard en précisant que je n’étais pas un cas isolé. Il ajouta aussi que, si une majorité d’archéologues dépréciait le travail d’amateurs de qualité, il y avait d’autres qui étaient parfaitement conscients de la richesse représentée par ces amateurs.
Désireux de me rencontrer, nous sommes convenus d’un rendez-vous au cours duquel j’ai découvert la démarche d’ArkéoTopia : porter un autre regard sur l’archéologie d’aujourd’hui pour mieux aider les organismes existants à préparer celle de demain en accueillant et en soutenant autant les professionnels que les étudiants et les amateurs français et étrangers du domaine.
Insistant sur le rôle des amateurs à l’origine de la discipline d’aujourd’hui et sur le fait que la recherche n’est pas l’unique privilège de scientifiques nécessairement plus compétents pour comprendre un site ou un document, j’ai été séduit par cette entreprise innovante venant d’un professionnel et la démarche éthique tenue par cet organisme.
Je ne me prétends pas chercheur. Je suis avant tout architecte et donc concepteur. Cependant, je défends une approche ouverte de la recherche impliquant créativité et rigueur dont un amateur tout comme un professionnel peuvent être pourvus. Pour ces raisons, je soutiens l’effort d’ArkéoTopia, une autre voie pour l’archéologie et lui souhaite le meilleur,
Jean-Pierre Houdin
Paris, France
Le 23 août 2009
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Albert Jacquard † 11 septembre 2013
Professeur de génétique et vulgarisateur scientifique, Officier de la Légion d’Honneur et Commandeur de l’Ordre National du Mérite – Paris, France
Biographie
Polytechnicien, diplômé de l’Institut National de Statistiques et Démographique, Albert Jacquard s’est ensuite spécialisé en génétique des populations après avoir soutenu un doctorat d’Université de Génétique et un Doctorat d’État en Biologie Humaine. Chercheur à l’Université américaine de Stanford, il a été également professeur aux Universités de Paris VI, de Louvain et de Genève. Il fut nommé expert en génétique auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé de 1973 à 1985 et membre du Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé de 1983 à 1988. Le Pr. Albert Jacquard consacre alors l’essentiel de son activité à un travail de vulgarisation scientifique ou d’essais dans lesquels il cherche à diffuser un discours humaniste destiné à favoriser l’évolution de la conscience collective. Son travail lui vaut une reconnaissance nationale, c’est ainsi qu’il devient Officier de la Légion d’Honneur et Commandeur de l’Ordre National du Mérite en 1980. Cette reconnaissance s’étendra à l’international, l’Université du Québec le faisant docteur honoris causa en 1987. Engagé dans la défense des plus démunis, Albert Jacquard est également de tous les combats qu’il estime justes comme la justice sociale ou encore l’éducation qu’il considère comme l’enjeu majeur du XXIe siècle et le véritable moteur du changement. Proche du mouvement altermondialiste, Albert Jacquard est un contributeur régulier du journal Le Monde Diplomatique.
Dans L’équation du nénuphar. Les plaisirs de la science (1998), le Pr. Jacquard rappelait « Le système éducatif commet la même erreur lorsqu’il met l’accent abusivement, et souvent exclusivement, sur l’acquisition des connaissance, et surtout lorsqu’il confond la science avec sa fille, la technique. […] Pour la science, il s’agit de comprendre, pour la technique, d’être efficace. » En 2012, dans ses interventions sur l’éducation, il rappelle encore cette erreur du système éducatif où l’érudition semble plus importante que l’utilisation des connaissances.
Pourquoi soutenir ArkéoTopia ?
En tant que vulgarisateur scientifique, j’ai apprécié l’énergie et la qualité du travail d’ArkéoTopia dans la promotion de la démarche scientifique prenant comme support l’archéologie. J’ai également apprécié l’importance accordée à la transmission et à l’enseignement que ce soit pour l’archéologie ou de façon générale promouvant des valeurs humanistes que je porte tout autant.
Démarché en tant que généticien m’étant intéressé à la vulgarisation et appuyant l’importance de l’éducation dans nos sociétés actuelles afin de mettre en avant les valeurs que souhaite porter ArkéoTopia d’interdisciplinarité, d’une science engagée au quotidien auprès des citoyens dans une relation symbiotique où les uns et les autres interfèrent, dans une volonté de redonner le goût de la science au-delà de la seule discipline archéologique, j’ai répondu présent.
Albert Jacquard
Paris, France
Le 11 Juillet 2012
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Jean-Paul Réti
Sculpteur – Paris, France
Biographie
Prix et distinctions : Fulbright 2001-2003. USA Phx, AZ, ASU, AZ., Prix de Rome (Italie), Lauréat de la Fondation Mino Paper Art Village Project (Japon), Prix National de Sculpture (France), Prix de Mino Akari Arts, XIe Festival National de Sculptures en Papier (Japon), Lauréat de la Fondation Elf , Prix du concours international et national de Valloire (Alpes, France 1999), Premier prix pour une réalisation urbaine (COPRIM, Issy, France)… Pour une connaissances plus précise, voir le parcours de l’artiste sur son site professionnel.
Le journaliste Philippe Thébault le présente, en sculpture, comme « le pionnier de la « Terre vue du ciel » [, en] attestent ses premières grandes pièces exposées à Paris et à Rome dès 1982. Un prix l’a conduit à la Villa Medici, un Fulbright aux USA, puis l’Akari au Japon. Ses pièces sont entre autres dans ces pays et aussi en France. Giordano Bruno dès le XVIIe siècle a démontré que la Terre n’est pas le centre de l’Univers et flotte dans un espace infini, « sans haut, ni bas ». C’est à cela que fait référence Réti en faisant flotter ses paysages et ses « sols » suspendus qui font face aux spectateurs. Depuis et sans discontinuer, il a réalisé des sculptures (pour l’essentiel murales), des paysages urbains montrant des sols mais aussi des sous-sols où sont associés volumes et ombres portées. La combinaison des deux est vue par le spectateur comme en survol. L’horizon s’efface. Ce sculpteur nous fait observer la Terre comme elle est : un objet évoluant dans l’espace infini sans nos repères rassurants ou utilitaires comme la ligne d’horizon et un sol sous nos pieds. »
Pourquoi soutenir ArkéoTopia ?
Ma première visite de galeries souterraines m’a fait rencontrer ArkéoTopia. Comme on dit : ça devait arriver. Tout simplement parce qu’en sculpture je fouille souvent les entrailles de la Terre. Mes pièces en acier montrent à la fois le sol comme les sous-sols de la ville. Donc, nos préoccupations sont assez similaires, du moins en partie. Je fais appel à ce qui est caché, pour montrer notre réalité dans sa totalité. ArkéoTopia fouille le passé dévoilant aussi à sa façon « le caché ».
S’il y a donc des similitudes dans nos approches, il y a nécessairement des différences. Aussi, si l’une de mes sculptures a-t-elle pour titre « Archéologie », mon approche des strates du sol est née d’une toute autre source que je qualifierais d’heureux hasard. Mon père médecin, mais aussi chercheur (un genre de professeur Tournesol), s’est lancé dans des expérimentations pas seulement au labo, mais également au domicile. C’est ainsi que, grâce à lui, j’ai découvert la magie du microscope. Comme il le disait souvent : « nos yeux ne voient qu’une partie des choses et ils nous trompent. Il faut aller plus loin que les apparences ». Cet aphorisme est devenu ma seconde nature : ne pas me contenter de ce qui est visible du premier coup d’œil. Chercher à faire le tour d’une question est pratiquement une posture philosophique. Je l’applique, autant que faire se peut, à mes sculptures.
La boucle est bouclée : l’archéologue d’un coté, le sculpteur que je suis de l’autre, nous cherchons tous les deux à aller au-delà des apparences. Même si nos outils sont différents, ne dit-on pas que tous les chemins mènent à Rome !
Jean-Paul Reti
Paris – France
Le 11 juillet 2013
1. Jean-Christian Poutiers, Dr en Histoire et Dr en Archéologie, Président de l’ARAM (Association Régionale des Aveugles et Malvoyants), est l’un des partenaires privilégiés d’ArkéoTopia.